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A LA UNE...

mercredi 24 février 2016

RAPPORT DE LA SESSION DE FORMATION DES SECRÉTAIRES-CHANCELIERS

Il s’est tenue, au Centre Interdiocésain des Œuvres (CIO), du 16 au 17 février 2016, une Session de formation des Secrétaires-Chanceliers des diocèses du Congo, organisée par le Secrétariat Général de la Conférence Episcopale du Congo.
Etaient présents à la Session : Les membres du Secrétariat Général de la CEC, les Secrétaires-Chanceliers des diocèses du Congo (sauf celui d’Impfondo) et les Conférenciers.
Après le mot de bienvenue de l’Abbé Armand Brice IBOMBO, Secrétaire Général de la CEC, Son Excellence Monseigneur Anatole MILANDOU, Archevêque Métropolitain de Brazzaville, au nom de Son Excellence Monseigneur Daniel MIZONZO, Président de la CEC empêché, a déclaré ouvertes les journées de réflexion et de partage des Secrétaires-Chanceliers des diocèses du Congo, tout en les exhortant à considérer ces moments comme un temps de grâce, offert non seulement pour renforcer les capacités mais aussi pour réaliser la communion intra-diocésaine.
Il faut  relever que, ladite Session de formation s’est tenue une semaine après la clôture de la 44ème Assemblée Plénière de la CEC. Profitant de cette occasion, l’Abbé Armand Brice IBOMBO a invité tous les participants à s’impliquer et à s’appliquer  pour une harmonisation efficace de nos Secrétariats et de nos Chancelleries mais aussi pour une harmonisation des relations entre le Secrétariat Général de la CEC et les Secrétaires-Chanceliers des diocèses ; ce, pour mieux aider nos pères Evêques dans l’administration des diocèses partant, celle de l’Eglise locale du Congo.
Pendant deux jours de réflexions intenses et de partage fructueux, les Conférenciers ont nourri les Secrétaires-Chanceliers par des exposés édifiants portant sur la figure du Secrétaire-Chancelier dans le Code de Droit Canonique (par l’Abbé Armel KEMA),sur le Leadership et le Management (par M. Alain Robert MOKOURI), sur l’importance de la communication dans un monde globalisé (par M. Joachim MBANZA), sur la technique de communication aujourd’hui et les réseaux sociaux (par M. Freddy KIYINDOU), sur le rapport Chancellerie-Secrétariat Général (par l’Abbé Armand Brice IBOMBO).Ils ont aussi eu la joie d’écouter les expériences sur la gestion d’une Chancellerie diocésaine : cas du diocèse d’Owando de 1994-2008 (par M. Antoine BOUBA-BOUBA),  sur l’organisation du Secrétariat et des techniques administratives (par M. Edouard MBALOULA), sur la gestion du bulletindiocésain de liaison  (par M. Alain Pierre Cephas MOUANGA BATSIMBA), sur la tenue d’un Secrétariat (par Mme Irène Pascaline LOUNGUENGUE), sur la technique protocolaire (par Mme Liliane NDENGUE), sur l’organisation du plan d’action (par M. Raoul SIKA). A la fin, chaque Chancelier ou Secrétaire a partagé aux autres son expérience personnelle.
Il ressort de ces conférences ou de ces exposés que :
1. Le Chancelier et le Secrétaire sont tous deux notaires de la Curie, chargés de notifier les actes de la Curie. Ils sont tous deux tenus à la discrétion, au secret car c’est à eux de sauvegarder le secret de l’Evêque et du diocèse. Mais il revient à l’Evêque de déterminer le rôle de chacun dans la lettre de nomination, tout en relevant le caractère complétif du service.
2. Le Secrétaire ou le Chancelier est à la fois l’œil, l’oreille, la mémoire et le stylo de l’Evêque. Dans l’exercice de sa fonction il doit se distinguer par la disponibilité, la promptitude dans les actions, la capacité d’initiatives, par le savoir-faire, le savoir-être et le savoir-vivre ; par la capacité managériale, par l’esprit d’ouverture au monde et aux medias. Il est même appelé à aller au-delà de l’ordinaire, par exemple dans les relations avec la société ou avec d’autres institutions et même jouer le rôle du protocole pendant les cérémonies.
3. Le  Secrétariat Général  est le cœur, le centre, le moteur de la vie d’une Eglise. C’est de là que partent toutes les décisions venant des Evêques.  De ce fait, il devrait y avoir osmose, entente, mariage entre le Secrétaire Général et les Secrétaires-Chanceliers, dans le souci d’établir la communication, la relation directe avec ceux-ci. Tel a été même le but premier de cette Session.Pour que tout cela se réalise, il faut la volonté, volonté de se communiquer, de s’ouvrir aux autres, volonté de marcher ensemble, de travailler en réseau et donc en synergie.
Afin d’enrichir la Session, plusieurs propositions ou suggestions ont été émises:
a. Les Secrétaires-Chanceliers doivent tenir l’agenda de leurs Evêques respectifs ;
b. Ils doivent veiller au bon soin de l’administration et à la sauvegarde des documents/archives ;
c. Ils doivent avoir et fournir un bulletin de liaison dans leurs diocèses respectifs pour informer, former et éduquer le peuple de Dieu ;
d. Ils doivent veiller à la rédaction des lettres pastorales des Evêques ;
e. Ils doivent veiller aux plans d’actions de leurs Evêques ;
f. Ils doivent veiller à l’organisation des différentes réunions diocésaines (session, réunion du Collège des Consulteurs, du Conseil presbytéral…) ;
g. Ils doivent rappeler les programmes de la CEC à leurs Evêques et envoyer régulièrement les nouvelles des diocèses au Secrétariat Général de la CEC : les évènements majeurs (ordinations, célébrations des Jubilés des Paroisses…), communications variées (décès, nomination importante, catastrophe, visite importante…), les rapports annuels ou quinquennaux. 
Toute la Session s’est tenue dans un climat apaisé, de paix, de confiance et de fraternité mais aussi de prière, car chaque journée était sanctifiée par la célébration Eucharistique et par la liturgie des heures. Les Secrétaires-Chanceliers ont eu aussi des moments de détente, ce qui leur a permis de visiter le viaduc de Ngamakosso, le Complexe sportif  la Concorde de Kintélé, la nouvelle Corniche et le pont du 15 Août situés au bord du majestueux fleuve Congo.
Tous les intervenants étant passés, à 18h 45 min (heure locale), l’Abbé Armand Brice IBOMBO, Secrétaire Général de la CEC, a clos la Session au nom de Son Excellence Monseigneur Daniel MIZONZO, Evêque de Nkayi et Président de la CEC, empêché.
Fait à Brazzaville, le 17 février 2016
Abbé Armand Brice IBOMBO  
Secrétaire Général de la CEC.
                                                            
Rony IBATA
Secrétaire de la Session

vendredi 12 février 2016

MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS POUR LE CARÊME 2016 : "C'est la miséricorde que je veux, et non les sacrifices" (Mt 9,13).




1. Marie, icône d’une Église qui évangélise parce qu’elle a été évangélisée
Dans la Bulle d’indiction du Jubilé, j’ai invité à faire en sorte que « le Carême de cette Année Jubilaire [soit] vécu plus intensément comme un temps fort pour célébrer et expérimenter la miséricorde de Dieu » (Misericordiae vultus, n. 17). Par le rappel de l’écoute de la Parole de Dieu et l’initiative « 24 heures pour le Seigneur », j’ai voulu souligner la primauté de l’écoute priante de la Parole, plus particulièrement de la Parole prophétique. La miséricorde de Dieu est certes une annonce faite au monde : cependant chaque chrétien est appelé à en faire l’expérience personnellement. C’est pourquoi, en ce temps de Carême, j’enverrai les Missionnaires de la Miséricorde afin qu’ils soient pour tous un signe concret de la proximité et du pardon de Dieu.

Parce qu’elle a accueilli la Bonne Nouvelle annoncée par l’archange Gabriel, Marie chante prophétiquement dans son Magnificat la miséricorde par laquelle Dieu l’a choisie. La Vierge de Nazareth, promise comme épouse à Joseph, devient ainsi l’icône parfaite de l’Église qui évangélise car elle a été et demeure constamment évangélisée par l’œuvre de l’Esprit Saint qui a fécondé son sein virginal. Dans la tradition prophétique – et déjà au niveau étymologique – la miséricorde est étroitement liée aux entrailles maternelles (rahamim) et à une bonté généreuse, fidèle et compatissante (hesed) qui s’exerce dans les relations conjugales et parentales.


2. L’alliance de Dieu avec les hommes : une histoire de miséricorde.
Le mystère de la miséricorde divine se dévoile au cours de l’histoire de l’alliance entre Dieu et son peuple Israël. Dieu, en effet, se montre toujours riche en miséricorde, prêt à reverser sur lui en toutes circonstances une tendresse et une compassion viscérales, particulièrement dans les moments les plus dramatiques, lorsque l’infidélité brise le lien du pacte et que l’alliance requiert d’être ratifiée de façon plus stable dans la justice et dans la vérité. Nous nous trouvons ici face à un véritable drame d’amour où Dieu joue le rôle du père et du mari trompé, et Israël celui du fils ou de la fille, et de l’épouse infidèles. Ce sont les images familières, comme nous le voyons avec Osée (cf. Os 1-2), qui expriment jusqu’à quel point Dieu veut se lier à son peuple.

Ce drame d’amour atteint son point culminant dans le Fils qui s’est fait homme. Dieu répand en lui sa miséricorde sans limites, au point d’en faire la « Miséricorde incarnée » (Misericordiae Vultus, n. 8). En tant qu’homme, Jésus de Nazareth est fils d’Israël dans le plein sens du terme. Il l’est au point d’incarner cette écoute parfaite de Dieu demandée à tout Juif par le Shemà qui constitue, aujourd’hui encore, le cœur de l’alliance de Dieu avec Israël : « Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces » (Dt 6, 4-5). Le Fils de Dieu est l’Époux qui met tout en œuvre pour conquérir l’amour de son Épouse. Il lui est lié par son amour inconditionnel qui se manifeste dans les noces éternelles avec elle.

Ceci constitue le cœur vibrant du kérygme apostolique où la miséricorde divine tient une place centrale et fondamentale. Il est « la beauté de l’amour salvifique de Dieu manifesté en Jésus-Christ, mort et ressuscité » (Exhort. apost. Evangelii gaudium, n. 36), cette première annonce « que l’on doit toujours écouter de nouveau de différentes façons, et que l’on doit toujours annoncer de nouveau durant la catéchèse » (Ibid., n.164).La miséricorde alors « illustre le comportement de Dieu envers le pécheur, lui offrant une nouvelle possibilité de se repentir, de se convertir et de croire » (Misericordiae Vultus, n. 21), restaurant vraiment ainsi la relation avec Lui. En Jésus Crucifié, Dieu veut rejoindre l’homme pécheur jusque dans son éloignement le plus extrême, précisément là où il s’est égaré et éloigné de Lui. Et ceci, il le fait dans l’espoir de réussir finalement à toucher le cœur endurci de son Épouse.
3. Les œuvres de miséricorde.
La miséricorde de Dieu transforme le cœur de l’homme et lui fait expérimenter un amour fidèle qui le rend capable d’être, à son tour, miséricordieux. C’est à chaque fois un miracle que la miséricorde divine puisse se répandre dans la vie de chacun de nous, en nous incitant à l’amour du prochain et en suscitant ce que la tradition de l’Église nomme les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles. Elles nous rappellent que notre foi se traduit par des actes concrets et quotidiens, destinés à aider notre prochain corporellement et spirituellement, et sur lesquels nous serons jugés : le nourrir, le visiter, le réconforter, l’éduquer. C’est pourquoi j’ai souhaité que « le  peuple chrétien réfléchisse durant le Jubilé sur les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles. Ce sera une façon de réveiller notre conscience souvent endormie face au drame de la pauvreté, et de pénétrer toujours davantage le cœur de l’Évangile, où les pauvres sont les destinataires privilégiés de la miséricorde divine » (Ibid., n. 15). Dans la personne du pauvre, en effet, la chair du Christ « devient de nouveau visible en tant que corps torturé, blessé, flagellé, affamé, égaré… pour être reconnu par nous, touché et assisté avec soin » (Ibid.). Inouï et scandaleux mystère qui prolonge dans l’Histoire la souffrance de l’Agneau innocent, buisson ardent brûlant d’un amour gratuit, et devant lequel nous ne pouvons, à la suite de Moïse, qu’ôter nos sandales (cf. Ex 3,5) ; et ceci plus encore quand ce pauvre est notre frère ou notre sœur en Christ qui souffre à cause de sa foi.

Face à cet amour, fort comme la mort (cf. Ct 8,6), le pauvre le plus misérable est celui qui n’accepte pas de se reconnaître comme tel. Il croit être riche mais, en réalité, il est le plus pauvre des pauvres. Et s’il est tel, c’est parce qu’il est esclave du péché qui le pousse à user de la richesse et du pouvoir non pas pour servir Dieu et les autres, mais pour étouffer en lui l’intime conviction de n’être, lui aussi, rien d’autre qu’un pauvre mendiant. D’autant plus grands sont le pouvoir et les richesses dont il dispose, d’autant plus grand est le risque que cet aveuglement devienne mensonger. Il en vient à ne même plus vouloir voir le pauvre Lazare qui mendie à la porte de sa maison (cf. Lc 16, 20-21), figure du Christ qui, dans les pauvres, mendie notre conversion. Lazare est cette opportunité de nous convertir que Dieu nous offre et que peut-être nous ne voyons pas. Cet aveuglement est accompagné d’un délire orgueilleux de toute puissance, dans lequel résonne, de manière sinistre, ce démoniaque « vous serez comme des dieux » (Gn 3,5), qui est à la racine de tout péché. Un tel délire peut également devenir un phénomène social et politique, comme l’ont montré les totalitarismes du XXe siècle, et comme le montrent actuellement les idéologies de la pensée unique et celles de la technoscience qui prétendent réduire Dieu à l’insignifiance et les hommes à des masses qu’on peut manipuler. Ceci, de nos jours, peut être également illustré par les structures de péché liées à un modèle erroné de développement fondé sur l’idolâtrie de l’argent qui rend indifférentes au destin des pauvres les personnes et les sociétés les plus riches, qui leur ferment les portes, refusant même de les voir.

Pour tous, le Carême de cette Année jubilaire est donc un temps favorable qui permet finalement de sortir de notre aliénation existentielle grâce à l’écoute de la Parole et aux œuvres de miséricorde. Si à travers les œuvres corporelles nous touchons la chair du Christ dans nos frères et nos sœurs qui ont besoin d’être nourris, vêtus, hébergés, visités, les œuvres spirituelles, quant à elles, - conseiller, enseigner, pardonner, avertir, prier - touchent plus directement notre condition de pécheurs. C’est pourquoi les œuvres corporelles et les œuvres spirituelles ne doivent jamais être séparées. En effet, c’est justement en touchant la chair de Jésus Crucifié dans le plus nécessiteux que le pécheur peut recevoir en don la conscience de ne se savoir lui-même rien d’autre qu’un pauvre mendiant. Grâce à cette voie, "les hommes au cœur superbe", "les puissants" et "les riches", dont parle le Magnificat ont la possibilité de reconnaître qu’ils sont, eux aussi, aimés de façon imméritée par le Christ Crucifié, mort et ressuscité également pour eux. Cet amour constitue la seule réponse à cette soif de bonheur et d’amour infinis que l’homme croit à tort pouvoir combler au moyen des idoles du savoir, du pouvoir et de l’avoir. Mais il existe toujours le danger qu’à cause d’une fermeture toujours plus hermétique à l’égard du Christ, qui dans la personne du pauvre continue à frapper à la porte de leur cœur, les hommes au cœur superbe, les riches et les puissants finissent par se condamner eux-mêmes à sombrer dans cet abîme éternel de solitude qu’est l’enfer. C’est alors que résonnent à nouveau, pour eux comme pour nous tous, les paroles ardentes d’Abraham : « Ils ont Moïse et les Prophètes, qu’ils les écoutent ! » (Lc 16,29). Cette écoute agissante nous préparera le mieux à fêter la victoire définitive sur le péché et sur la mort de l’Epoux qui est désormais ressuscité, et qui désire purifier sa future Épouse dans l’attente de son retour.

Ne laissons pas passer en vain ce temps de Carême favorable à la conversion ! Nous le demandons par l’intercession maternelle de la Vierge Marie, qui, la première, face à la grandeur de la miséricorde divine dont elle a bénéficié gratuitement, a reconnu sa propre petitesse (cf. Lc 1,48) en se reconnaissant comme l’humble Servante du Seigneur (cf. Lc 1,38).


Du Vatican, 4 octobre 2015

Fête de Saint-François d’Assise

François

mercredi 10 février 2016

Mercredi des Cendres 2016 en images

Paroisse de Mossende

Cathédrale Saint Pie X de Gamboma

L'abbé Modeste en train d'appliquer les cendres aux fidèles de Mossendé

Makotimpoko

mercredi 3 février 2016

Mercredi de la quatrième semaine du temps ordinaire de l'année C : ''Ye mwana wa Maria te ?''

Abbé Jicker, présidant la messe
Tout en rappelant les points centraux de la célébration de la journée mondiale de la vie consacrée (02 février), l’Abbé Jicker ETSOH-LANZAMBE, président de la célébration eucharistique de ce matin à la Cathédrale Saint Pie X, a appelé tous les fidèles, consacrés à Dieu par leur Baptême, à accepter Jésus comme Prophète et Sauveur.








Intégralité de l’homélie
Bien-aimés,
Hier, nous avons été présents à une grande Messe ; celle-ci nous montrait comment Jésus, Fils de Dieu, a été présenté au temple par ses Parents, selon ce qui est écrit dans la loi du Seigneur. 
Cette journée du 02 février, l’Eglise universelle la lie aussi à la vie consacrée ; à tous ceux la qui se sont donnés corps et âme au Seigneur. Mais, il est important de rappeler que nous sommes tous ici, par notre baptême, des consacrés ; parce que le baptême fait de nous des enfants de Dieu, appelés à témoigner de lui par notre vie de tous les jours. 
Dans l’Evangile de ce matin, Marc nous met en garde face à la réticence des frères et sœurs qui habitent Nazareth comme Jésus ; ils ont du mal à voir en lui, l’Envoyé du Père, venu éclairer les zones d’ombre de leurs cœurs, et montrer à chacun le vrai chemin. Et finalement là à Nazareth, Il a pu guérir juste quelques frères : leur réticence ou leur méfiance ne leur permet pas d’avoir une foi forte.
Mes frères et sœurs, le Christ nous invite ce matin, à ouvrir nos cœurs à la Parole des Prophètes ; et le Prophète par excellence ici, c’est Jésus lui-même. Soyons toujours prêts à lui dire Jésus, j’ai confiance en toi.
Il n ya que notre foi et notre confiance en Lui qui peuvent nous obtenir les grâces et la guérison. Amen

Abbé Jicker.

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